«L’objectif est mort.» Thibaut Pinot, la principale chance française, l’un des gros outsiders pour un podium, au moins, n’est pas au mieux. Au-delà du temps perdu – 2’46 –, ce sont les images qui ne laissent augurer rien de bon pour le leader de la FDJ. Lui qui avait déjà laissé entrevoir quelques signes de «faiblesse», toute relative, au Lioran, deux jours plus tôt, a fini par craquer à quatre kilomètres du sommet de l’Aspin. Là où la pente n’excédait pas 6-7%. A priori, rien de bien méchant pour un grimpeur de son rang. «Je n’avais pas de jambes», explique-t-il. «C’est la troisième fois, déjà, que je perds pied dans les Pyrénées. En 2015, déjà, je n’étais pas au mieux lors de la première étape de montagne. Aujourd’hui, j’ai ressenti les mêmes sensations qu’au Dauphiné (réd: distancé au général, il avait quand même remporté l’étape reine). Sur le...
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Les Pyrénées, le calvaire de Pinot
Le leader de la FDJ a lâché prise à quatre kilomètres du sommet du col d’Aspin, malgré le soutien de Morabito.
Votre publicité ici avec IMPACT_medias