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«La piste, c’est plus beau que le Tourmalet»

Entraîneur national des pistards, Daniel Gisiger sera à la tête de la délégation suisse pour l’avant-dernière fois lors des Mondiaux de Berlin dès demain. Le Biennois évoque l’évolution de la discipline.

25 févr. 2020, 00:01
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Daniel Gisiger dirigera pour l’avant-dernière fois l’équipe de Suisse de cyclisme sur piste aux Mondiaux de Berlin (dès demain et jusqu’à dimanche). Le Biennois de 65 ans prendra sa retraite à la fin de l’année après un ultime grand rendez-vous à Tokyo lors des Jeux olympiques, si les Suisses se qualifient.

Pistard et routier, Daniel Gisiger a toujours apprécié le côté technique et émotionnel de la piste. «Franchement, une Coupe du monde ou des Mondiaux, c’est une des plus belles choses qui me soit donnée de voir. Bien sûr se trouver au sommet du Tourmalet au Tour de France, c’est beau mais une fois que les coureurs sont passés, vous vous précipitez dans votre camping-car pour voir la TV. Sur la piste, on peut tout suivre de A à Z.»

Ancien membre du «quatre» par équipes, qui avait enlevé la première médaille suisse aux Mondiaux en 1977 à San...

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