«Drame sur Paris-Roubaix», «le monde du cyclisme en deuil»... La mort du coureur belge Michael Goolaerts, décédé dimanche soir quelques heures après l’arrivée de Paris-Roubaix, barrait hier matin la Une des sites des médias flamands, témoin de l’émotion qui s’est emparée du pays.
Dimanche après-midi, le jeune Belge (23 ans), victime d’un arrêt cardiaque, avait été retrouvé inanimé sur le deuxième des 29 secteurs pavés de la «reine des classiques» (257 km). Les circonstances exactes de sa chute n’ont pas été précisées. Secouru pour un arrêt cardiaque, il a été héliporté à Lille, où il est décédé dans la soirée.
La chaîne publique VRT souligne que «le monde du cyclisme est en deuil» alors que «Het Laatste Nieuws» s’arrêtait sur un «Drame sur le Paris-Roubaix».
Michael Goolaerts «est mort dimanche soir à 22h40 à l’hôpital de Lille en présence des membres de sa famille et de ses proches, à...