Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Bradley Wiggins croit pouvoir briguer les victoires au Giro et au Tour de France

En dépit de la concurrence interne au sein de son équipe Sky, le Britannique Bradley Wiggins veut briguer le doublé Giro - Tour de France. Mais son coéquipier et vainqueur du Tour de Romandie, Christopher Froome lui tiendra la dragée haute.

29 avr. 2013, 18:11
Le Britannique Bradley Wiggins a affirmé lundi être candidat à un doublé Tour d'Italie - Tour de France, malgré la concurrence interne au sein de l'équipe Sky.

Le Britannique Bradley Wiggins a affirmé lundi être candidat à un doublé Tour d'Italie - Tour de France, malgré la concurrence interne au sein de l'équipe Sky. Il est ainsi revenu sur ses déclarations de soutien à son dauphin de l'été dernier, son compatriote et coéquipier Chris Froome, lui aussi prétendant au maillot jaune et récent vainqueur du Tour de Romandie.

Vainqueur du Tour de France l'an passé et favori de l'édition du Giro 2013 qui s'élance samedi de Naples, Wiggins a évoqué le sujet auprès de différents médias. "J'ai déjà dit explicitement que j'avais en vue le doublé Giro-Tour, au moins sur le papier", a déclaré Wiggins au journal italien Il Mattino. "Je voudrais aussi essayer de courir la Vuelta, sans ambitions au classement, seulement pour préparer le Championnat du monde du contre-la-montre à Florence (fin septembre)".

Selon Wiggins, la question de la hiérarchie entre lui et Froome se réglera sur la route du Tour. "Je ne pense pas qu'il y ait confusion. Nous voulons tous les deux gagner le Tour et nous suivons des chemins différents. Nous aurons trois jours en Corse (au départ du Tour) pour décider de la manière dont nous nous y prendrons", a-t-il précisé.

Le dernier coureur à avoir réussi le doublé Giro-Tour est le grimpeur italien Marco Pantani (décédé en 2004). Le Pirate avait gagné les deux grands tours en 1998, un an avant son exclusion du Giro.

A propos du Giro, Wiggins a estimé que l'Italien Vincenzo Nibali serait "certainement" son adversaire le plus dangereux. "Je le connais bien, pour l'avoir eu comme adversaire tenace dans le Tour (2012), et pour l'avoir vu au Tour du Trentin qu'il a gagné de belle manière, dans la montagne", a dit le Londonien. "Mais il faudra aussi avoir à l'oeil Hesjedal et Scarponi, davantage que Basso".

Votre publicité ici avec IMPACT_medias