Kin-ball. Le mot ne vous dit peut-être rien. Lancé en 1987 Outre-Atlantique, ce sport pâtit encore d’une faible notoriété dans nos contrées. À Saint-Blaise, une famille a décidé d’en faire son dada. Chez les Ruffieux, le kin-ball est une véritable passion.
Mais, au fait, qu’est-ce que le kin-ball? «Ce sport se joue par équipes de quatre. Trois formations se succèdent une à une sur le terrain», raconte Nathalie, la maman. «A chaque fois, une équipe a la balle, une défend et l’autre attend sur le bord du terrain.» Là, le règlement se corse quelque peu.
«Le frappeur appelle une des deux équipes qui doit défendre. Si la balle (réd: d’un diamètre de 1,22 mètre) touche le sol, l’équipe qui a frappé inscrit un point. Mais également l’équipe qui n’a pas joué!» s’exclame Nathalie. Drôle de fonctionnement, n’est-ce pas?
Du coup, le kin-ball apporte son lot de stratégies et tactiques, toutes...