Malgré des conditions peu évidentes – une pluie battante avant le départ, le froid et un terrain glissant –, la deuxième édition du Dernier Survivant, repoussée à cause de la pandémie de Covid-19, a tenu toutes ses promesses ce samedi sur les pentes de Chaumont.
Trente minutes pour parcourir une boucle de 3,3 km et de 386 m de dénivellation positive afin de pouvoir rester en course, voilà ce qui attendait les trente coureurs et coureuses au départ à 7h30. Les pourcentages terribles de la partie montante du parcours ont rapidement amaigri le petit peloton. Après deux heures et demie de course, ils n’étaient plus que treize, puis sept à l’approche de midi.
«Les cinquième et huitième boucles ont fait très mal» explique Christophe Nonorgue, l’organisateur de la course. «Puis, le terrain est devenu de plus en plus boueux au fil des passages, rendant la montée et la descente difficiles...