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Passeport biologique presque global

Chaque athlète contrôlé est désormais suivi dans la durée, mais des inégalités subsistent.

30 janv. 2014, 00:01
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Alain Garnier estime que le passeport biologique devrait être davantage utilisé comme un outil de prévention, afin de prévenir certains problèmes de santé. "Chaque athlète devrait donner le nom d'un médecin à qui on pourrait transmettre certaines données révélant des problèmes de santé. Il faut davantage aborder le dopage comme un problème de santé publique et pas uniquement comme un fléau concernant les sportifs d'élite. Hélas, peu de pays en ont pris conscience." Un très long combat.

CRITIQUES

Alain Garnier estime aussi que les autorités sportives et l'AMA ne se donnent pas tous les moyens pour lutter contre le dopage et exploiter au mieux le passeport biologique. "Depuis mon départ de l'AMA, le nombre de médecins employés n'a pas augmenté, et mon successeur n'est pas à plein temps alors que le travail médical de fond est énorme" , dénonce-t-il. "Cette instance est davantage conçue pour gérer le problème que le...
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