Alain Garnier estime que le passeport biologique devrait être davantage utilisé comme un outil de prévention, afin de prévenir certains problèmes de santé. "Chaque athlète devrait donner le nom d'un médecin à qui on pourrait transmettre certaines données révélant des problèmes de santé. Il faut davantage aborder le dopage comme un problème de santé publique et pas uniquement comme un fléau concernant les sportifs d'élite. Hélas, peu de pays en ont pris conscience." Un très long combat.
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Passeport biologique presque global
Chaque athlète contrôlé est désormais suivi dans la durée, mais des inégalités subsistent.
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