Au pays des montres et des horloges, il sonnait comme une évidence d’être synchronisé même en patinage artistique. Depuis un autre millénaire, déjà, les rives du lac de Neuchâtel sont le théâtre d’un joyeux mélange sportif et artistique. En 1999, le premier Neuchâtel Trophy mettait aux prises plusieurs des meilleures formations mondiales de patinage synchronisé.
Quelles différences avec l’illustre compère de l’individuel? A part la loi du nombre, le format reste relativement similaire. Par équipes de 16, parfois 12 ou 13 (lors des championnats de Suisse), les esthètes de la glace appliquent une chorégraphie réglée comme du papier à musique. Les notes des juges permettent ensuite d’établir un classement pour les deux programmes (court et long). Plusieurs catégories existent également, comme les novices, juniors, seniors ou âge mixte.
Le Trophy, une référence
En quatorze éditions, le Neuchâtel Trophy s’est forgé un nom dans le microcosme du patinage synchronisé. On y...