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Neuchâtel, avant les Jeux?

La discipline veut grandir, jusqu’à atteindre le Graal.

22 janv. 2018, 00:01
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D’amour et de haine. Ainsi pourrait-on qualifier la relation qui lie étroitement le patinage synchronisé à son grand frère artistique. Un temps envieux de l’aura de la discipline reine du patinage, le synchronisé profite en même temps de son développement.

Ce week-end, lors du 15e Neuchâtel Trophy, la qualité du patinage et l’internationalisation des équipes (l’Australie avait emmené cinq équipes) en ont été une belle démonstration. Sur la glace des patinoires du Littoral, les athlètes de 12 à 30 ans n’avaient presque rien à envier à leurs collègues de l’individuel.

D’un pays à l’autre, pourtant, tous ne patinent pas aux mêmes rythmes effrénés. Question de culture. Venue du Nord de l’Italie avec son groupe des Shining Blades, la coach Nadia Conio observe l’appauvrissement des pratiquants au fil des âges dans la Botte. «En Italie, nous comptons sept équipes de novices, cinq juniors et seulement deux seniors.»

Nombreux obstacles en Suisse...

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