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Escrime: Charles-Eric Oswald veut décoller, Pauline Brunner se relancer

Après plus d’un an de pause, les deux escrimeurs neuchâtelois ont pu reprendre le chemin des compétitions internationales. Entre déception et avenir prometteur, les fines lames se sont confiées.

29 mars 2021, 13:00
A Kazan, Charles-Eric Oswald (à gauche) s’est frotté au numéro un mondial, le Hongrois Gergely Siklosi.

Pauline Brunner doit mettre une croix sur son rêve olympique, du moins provisoirement. Sa compatriote Noemi Moeschlin s’étant montrée plus performante dans la période qualificative pour Tokyo, la Chaux-de-Fonnière ne s’envolera pas pour le Japon cet été.

Même si la déception est au rendez-vous, la motivation reste intacte pour l’escrimeuse de 26 ans. «J’ai déjà le regard rivé sur Paris 2024», annonce celle qui effectue des études en psychologie du côté de Fribourg.

Les Jeux olympiques de Tokyo, Pauline Brunner n’en a finalement pas été si éloignée. Alors qu’elle avait atteint le 23e rang mondial – son meilleur classement – lors de la saison 2018-2019, la Chaux-de-Fonnière a connu plus de difficultés l’année suivante, pendant la phase qualificative. «Comme j’ai signé de bons résultats, les adversaires se sont mises à bien connaître mon style. Cela fait partie du jeu», commente Pauline Brunner, qui estime avoir perdu cet effet de surprise...

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