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«Ce qui se passe sur l’Everest, c’est du tourisme, et non de l’alpinisme»

Véritable légende de la haute montagne, l’Italien Reinhold Messner était de passage aux Diablerets, où il a présenté son film «L’Everest, l’ultime frontière».

14 août 2019, 00:01
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Les sites spécialisés n’hésitent pas à lui décerner le grade de «légende vivante» de l’alpinisme. De «mythe», de «seigneur» de la haute montagne. L’Italien Reinhold Messner est de ceux qui ont fait des plus hauts sommets du monde leur jardin. L’Everest? Il fut le premier à le gravir sans oxygène, en 1978 avec son compagnon de cordée Peter Habeler, avant de renouveler l’exploit deux ans plus tard en solitaire. Les quatorze 8000 que compte la planète? Il les avait déjà tous épinglés à son tableau de chasse en 1986.

Fervent défenseur du style «alpin», plus léger, plus mobile et peut-être plus raffiné que le style d’ascension «traditionnel», l’homme de 74 ans embrasse aujourd’hui la carrière de réalisateur. Il était de passage aux Diablerets dimanche dernier, afin de présenter son film «L’Everest, l’ultime frontière».

Vous êtes en Suisse au Fifad pour la présentation d’«Everest, l’ultime frontière». La réalisation: votre ultime...

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