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«La corruption était partie intégrante de l’IAAF»

La deuxième partie du rapport de l’AMA accable les hauts dignitaires.

15 janv. 2016, 01:06
epa05101719 (FILE) A file picture dated 21 August 2015 of a starting block in front of the logo of the International Association of Athletics Federations (IAAF) prior to the 2015 IAAF World Championships at the National Stadium in Beijing, China. Former IAAF president Lamine Diack was responsible for the corruption at the ruling athletics body and his successor Sebastian Coe must also have been aware of the schemes and doping practices in Russia, according to an anticipated report presented by an independent commission of the World Anti-Doping Agency (WADA) on 14 January 2016.  EPA/DIEGO AZUBEL *** Local Caption *** 52380123 FILE CHINA IAAF ATHLETICS WADA

La commission indépendante (CI) de l’AMA charge lourdement la Fédération internationale d’athlétisme dans la deuxième partie de son rapport sur le dopage et la corruption dans ce sport, publiée, hier, à Munich: «La corruption était partie intégrante» de l’IAAF», écrit-elle. Elle estime cependant que le nouveau président de l’IAAF, Sebastian Coe, est l’homme de la situation pour sauver le navire.

Les faits analysés balayent les 15 ans de règne de Lamine Diack, le patriarche sénégalais qui a présidé l’IAAF jusqu’en août dernier. Il est soupçonné, avec sa «clique», d’avoir fermé les yeux sur les cas de dopage en Russie en échange d’argent. «L’IAAF ne s’est pas montrée assez ferme avec un certain nombre de pays dont la Russie.» Par rapport au premier rapport publié à Genève en novembre, cette deuxième version décortique tout le système de corruption et laisse entendre aussi que le laxisme de la fédération basée à...

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