Pour la juge Nathalie Kocherhans, «goûter à l’élixir du Val-de-Travers, un troublant plaisir que chacun peut se faire» ne contrevient pas à la loi et ne peut pas être considéré comme une publicité illicite.
Les petits cadeaux offerts à l’achat d’absinthe étaient, eux, illégaux, mais la magistrate renonce à toute peine.
Finalement, Jean-Michel Monnet devra tout de même verser 200 francs de participation aux frais de justice.
«On arrive au montant de l’amende initiale mais sans les frais de justice. J’ai bien réduit la facture. Je vais payer par gain de paix», a déclaré l’humoriste de Travers après le verdict.
«Je suis content pour l’acquittement mais la décision sur les cadeaux me reste au travers de la gorge. Si même une grande entreprise comme Mauler fait cette erreur…»