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La Robella demande un ultime sursis pour penser à l'avenir

Alors qu'un large comité oeuvre à trouver des pistes d'avenir pour la Robella, la coopérative du télésiège sollicite un crédit communal de la dernière chance pour mener à terme ces réflexions.

31 janv. 2014, 19:20
Les remontées mécaniques de La Robella n'ouvriront pas demain s'il ne neige pas ce soir.

Depuis un important prêt communal nécessaire à l'obtention de la concession d'exploitation en 2009, la société du télésiège de Buttes-la Robella (TBRC) perd 60'000 francs par année. Dans une situation critique, la coopérative sollicite aujourd'hui un ultime crédit à la commune pour mener à terme les réflexions d'avenir lancées l'été dernier.

Le groupe Avenir Robella, regroupant répresentants de la coopérative, des autorités villageoise et cantonales, et des milieux touristiques, a envisagé de nombreux scénarios depuis l'été passé et un premier sursis accordé par la commune (via une avance de subvention). Ils vont de l'abandon du site à son développement.

Certaines pistes de développement étant jugées prometteuses par le Conseil communal, il propose à son législatif d'assurer un sursis de 2 ans à la coopérative (via un subventionnement supplémentaire d'environ 100'000 francs par an), le temps de pouvoir formuler une alternative crédible. Le vote se déroulera le 17 février prochain.

Davantage de précisions ce samedi dans L'Express et L'Impartial.

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