Avec les deux déposés samedi puis dimanche, cela fait 30 chats errants que, depuis 2009, Tomi Tomek retrouve au petit matin dans ces cages déposées derrière son refuge. Tous étaient affolés alors que renards, fouines, sangliers et autres animaux ont leurs habitudes près du refuge de Noiraigue et représentent autant de danger pour les petits félidés. L’un a même succombé à une pneumonie contractée vraisemblablement durant ce séjour en cage.
Or, la responsable de SOS Chats souhaite que cela cesse. «J’aimerais savoir d’où viennent ces chats pour régler le problème à la racine», dit-elle, en proposant de stériliser les individus reproducteurs. Une telle opération permettrait d’arrêter la prolifération de ces chats errants. Car, vu la ressemblance de tous ces matous – tant au niveau physique que du comportement –, la protectrice des animaux soupçonne qu’ils viennent tous d’un seul et même endroit, une ferme ou un village où des...