De passage aux Geneveys-sur-Coffrane le 17 novembre dernier, R* s’est arrêté au bancomat de la Banque cantonale neuchâteloise (BCN) pour retirer de l’argent. Ce Vaudois tape son code et soudain, c’est le bug. Résultat: carte avalée et zéro cash en poche. S’ensuit alors un véritable parcours du combattant avec la banque.
R* compose d’abord le numéro de téléphone qui figure sur l’appareil. «Une dame m’informe que la gestion des cartes a été confiée à une société basée en Argovie», raconte-t-il. Le Vaudois s’empresse d’appeler cette entreprise, qui ne travaille plus avec la BCN. Il a fallu encore deux appels à la banque, avant qu’un employé lui dise que sa carte lui serait renvoyée dans un délai de quatre semaines. C’était en novembre.
Contrarié par ce ping-pong téléphonique, R* écrit une lettre à la BCN – dont il n’est pas client – début janvier, dans laquelle il demande à être remboursé...