Elles ont dû se passer le mot durant le long vol migratoire qui les ramenait à Rochefort ce printemps. La pension pour hirondelles de fenêtre mise en place par l’agriculteur Jacques Nussbaum et l’ornithologue Michel Amez-Droz a en effet affiché complet tout l’été, avec la présence extraordinaire de 101 couples. En 2016, il n’y avait que 28 couples.
L’ampleur prise par la colonie a été relatée dans l’édition du 30 octobre de «Littoral Région», le journal hebdomadaire du littoral ouest.
A choix pour les voltigeuses, 60 nichoirs artificiels et 18 nids naturels ayant passé la saison hivernale. Les premières arrivées furent les premières servies, les suivantes se sont attelées à la construction de 23 nouveaux nids pour lesquels il faut «entre 1200 et 1500 boulettes de boue», rappelle Michel Amez-Droz.
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La consolidation de la colonie a constitué...