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Violences au collège des Charmettes à Neuchâtel: «Aucun enfant n’est perdu»

Daniel Favre, chargé de prévention à la police neuchâteloise, revient sur les actes de violence survenus lundi au collège des Charmettes. Et explique pourquoi victime et agresseur doivent être aidés.

30 nov. 2018, 18:09
Les violences à l'école ont toujours existé, mais celles qui surviennent en classe restent rares.

Lundi dernier, un élève de 9e année était victime d’une agression violente de la part d’un camarade de classe. La scène s’est déroulée en pleine leçon, au collège des Charmettes à Neuchâtel. La victime a dû être hospitalisée.

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Depuis, les réactions virulentes pleuvent tant à l’encontre du jeune agresseur – mis à pied – , jugé «irrécupérable», qu’à l’encontre du corps enseignant qui aurait manqué à son devoir de vigilance.

Daniel Favre est chargé de prévention au sein de la police neuchâteloise. Il sensibilise les classes du canton aux dangers de la criminalité, quelles que soient ses formes. Il revient sur cet acte qualifié de «regrettable» et d’«isolé».

Je reste persuadé qu’aucun enfant n’est perdu. Il vaut toujours la peine d’investir sur la jeunesse, de lui laisser un joker.
Daniel Favre...
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