Urech a poursuivi sa restructuration en mai. L’entreprise neuchâteloise active dans la vente de bijoux et de montres a procédé à huit licenciements. Le plan de restructuration devrait se poursuivre jusqu’à la fin de l’année, a indiqué vendredi le syndicat Unia.
Fondée en 1943, la firme a été rachetée par le groupe saint-gallois Rhomberg l’année passée. Le nouveau propriétaire a décidé de centraliser les services après-vente dans le canton de Saint-Gall, ce qui a entraîné quatre licenciements.
Les quatre autres suppressions de postes résultent de la mise en place d’un nouveau système informatique et d’un changement au niveau du traitement des commandes.
Le magasin à bas prix basé à Vauseyon, à Neuchâtel, reste, lui, toujours ouvert.
«Politique du saucissonnage»
Urech a déjà licencié sept personnes fin décembre, sept autres fin janvier, puis encore une fin février. «L’entreprise pratique une politique de saucissonnage. Elle met à la porte, chaque fois, moins...