C’est le «Blick» qui le révèle ce mardi: un détenu de l’établissement pénitentiaire bernois de Saint-Jean, juste à côté du Landeron, et une thérapeute ont entretenu une liaison au moins jusqu’au printemps dernier.
Le trentenaire, condamné à 18 ans pour avoir fait poignarder son épouse enceinte par un tueur à gages en 2008, avait le droit de passer des appels par Skype. C’est par ce moyen que lui et celle qui a été sa psychologue traitante au moins jusqu’en 2017 pouvaient échanger et, aux dires du tabloïd alémanique, avoir des relations sexuelles virtuelles.
«Tout s’est bien passé jusqu’à ce que l’établissement correctionnel veuille connaître les données de la personne appelée à l’avance. Le tueur leur a donné un mauvais numéro, puis a composé celui de sa maîtresse. Une incohérence que les agents ont remarquée immédiatement», relate l’article. L’histoire révélée, la femme a été licenciée par l’institut thérapeutique pour lequel elle travaillait. Quant au détenu, il n’est plus autorisé à utiliser Skype.