Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Une caverne d'Ali Baba dédiée aux mille et un tapis d'Orient

Ancien employé de Gans-Ruedin, Emmanuel Schmutz a repris le stock.

23 mai 2014, 00:01
data_art_8082248.jpg

Ils sont 1131. Petits ou grands, anciens ou modernes, unis ou multicolores. Dans les locaux de l'entreprise Décosol, dans la zone industrielle de Bôle, le tapis d'Orient est roi. " Ç a, c'est ce que j'aime, un tapis d'Orient comme on en achetait autrefois" , explique Emmanuel Schmutz en posant délicatement la main sur un Mashhad des années 1920. "Il coûte 20 000 francs mais il les vaut. C'est une pièce unique. Aujourd'hui, on ne trouve plus cette qualité."

Sauvé par les parquets

Il sait de quoi il parle, Emmanuel Schmutz. Avant de devenir co-directeur de Décosol, il a travaillé durant 30 ans chez E. Gans-Ruedin, entreprise dont le nom était connu des spécialistes bien au-delà des frontières neuchâteloises. Lorsque le patron a pris sa retraite, Emmanuel Schmutz a décidé de reprendre l'entier du stock, soit 911 pièces. Une décision dictée moins par calcul économique que par amour pour la...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias