Le coefficient fiscal fixé à 58, notamment, n'a pas manqué de faire réagir les personnes présentes.
Mais les explications du représentant de BDO, la fiduciaire chargée d'accompagner la fusion et qui a calculé ce coefficient, ont certainement convaincus. Et l'intervention du représentant du service des communes chargé de préaviser le dossier pour le Conseil d'état a achevé de les persuader.
Sandro Tamburini a déclaré que le dossier présenté par les communes et BDO était «réaliste sur le plan financier, car il ne se contente pas de comptabiliser les économies mais pointe aussi des augmentations de charges liées à la fusion».
L'attention du législatif s'est également portée sur le taux d'occupation des conseillers. Ce qui a amené la question de la professionnalisation de ces postes.
Les trois présidentes de communes signeront la convention de fusion, prévue le 4 juillet. Après la ratification de la convention par les Conseils généraux le 15 septembre, la population pourra se prononcer le 27 novembre. /gve-réd