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Un chef de service de la Ville de Neuchâtel accusé de mobbing et suspendu

Un cadre du Service de l’urbanisme de la Ville de Neuchâtel est accusé de harcèlement psychologique par plusieurs collaborateurs pour des faits répétés.

22 août 2018, 17:15
Plusieurs plaintes sont remontées au Conseil communal.

Le Conseil communal de Neuchâtel a suspendu avec effet immédiat, à la mi-juillet, l’un de ses chefs de service. Selon notre enquête, ce cadre, qui gère une vingtaine de collaborateurs au sein du dicastère de l’Urbanisme, est accusé de mobbing (harcèlement psychologique) par plusieurs employés. Les plaignants sont tant des femmes que des hommes.

Si ses compétences professionnelles ne sont pas remises en cause, ses méthodes managériales sont pointées du doigt: on parle de «tyrannie», de «ton inapproprié», de «crises de colère», d’«inégalité de traitement», de «pressions», de «surveillance extrême».

Contacté à plusieurs reprises, le principal intéressé n’a pas répondu à nos sollicitations. Mais son avocat précise que son client conteste toute accusation de mobbing et qu’il n’a jamais fait l’objet de plainte avant le mois de juin dernier. Quant aux autorités, elles confirment qu’une enquête disciplinaire est ouverte et qu’un avocat externe à la ville, mais de la région,...

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