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Ses brûlures ont eu raison de sa vie

L’atmosphère était à la tristesse, hier. L’annonce du décès de l’adolescent électrocuté a ému toute la région. Et une cellule de crise a été mise en place au CPLN où il suivait son cursus.

14 mars 2017, 05:58
A wax drop falls off a candle during the Orthodox Christmas Mass at the Christ the Savior Cathedral in Moscow, Russia, on Sunday, Jan. 6, 2013. Christmas falls on Jan. 7 for Orthodox Christians in the Holy Land, Russia and other Orthodox churches that use the old Julian calendar instead of the 16th-century Gregorian calendar adopted by Catholics and Protestants and commonly used in secular life around the world. (AP Photo/Ivan Sekretarev) Russia Orthodox Christmas

Il y a ceux qui gardaient espoir ou essayaient d’y croire. Et ceux qui ne pouvaient qu’envisager une issue fatale ou refusaient de concevoir une future existence de souffrances. Dimanche, la réponse est tombée, emplie d’une indicible douleur, accompagnée, peut-être, d’une forme de soulagement face à l’insoutenable. Le jeune Landeronnais de 17 ans, qui a été la proie des flammes après avoir été touché par un arc électrique, jeudi soir à la gare de Cornaux, est décédé au Chuv, où il avait été transféré (nos éditions de vendredi 9 et samedi 10 mars).

Hier matin, l’émotion emplissait les couloirs du Centre professionnel du Littoral neuchâtelois (CPLN). Une école où Johan effectuait un préapprentissage impliquant deux journées d’intégration professionnelle en entreprise. Cela en vue de se lancer à la quête d’un CFC d’électricien à la rentrée prochaine.

Débriefing au bord du lac

Les larmes perlaient des yeux de ses camarades de...

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