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Saint-Aubin: chez Gindraux Fenêtres, l'avenir passe par le bois indigène

A Saint-Aubin, cela fait plus d'un siècle que le nom Gindraux est associé au travail du bois. Mais c'est en se spécialisant dans les fenêtres que l'entreprise neuchâteloise a pris son essor pour s'ouvrir à l'Arc lémanique.

24 nov. 2019, 10:30 / Màj. le 25 nov. 2019 à 10:00
Toutes les fenêtres portant la marque Gindraux sont fabriquées dans l'usine de Saint-Aubin. Y compris les plus sophistiquées.

Qu’ont en commun l’hôtel des Horlogers, bijou de la marque Audemars-Piguet au Brassus, le bâtiment du CICR à Genève ou l’hôtel des Postes de Neuchâtel? Toutes leurs fenêtres ont été élaborées dans la halle de production de l’entreprise neuchâteloise Gindraux, à Saint-Aubin. Une entreprise familiale fondée en 1907 par un menuisier nommé Arthur Gindraux, dont l’atelier, situé au coeur du village, était alimenté, via une roue à aubes, par l’eau du Pontet, le ruisseau dévalant des hauteurs de la Béroche.

Développement sur l’Arc lémanique

Aujourd’hui, Gindraux Fenêtres SA occupe quelques 80 collaborateurs, actifs sur trois sites, à Saint-Aubin, à Carouge (GE) et au Mont-sur-Lausanne (VD), et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 20 millions de francs. Sa halle de production neuchâteloise, d'où sort le 100% de la production de fenêtres estampillées Gindraux, occupe une surface de 6000 mètres carrés au lieu-dit le Grand-Verger, débarrassé de ses lignes de...

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