Les partis politiques de la commune de Neuchâtel ne veulent plus entendre parler de remplacement automatique, sans passer par un scrutin populaire, en cas de démission au sein du Conseil communal en cours de législature. Dans ce contexte, le Conseil général devrait prochainement choisir un nouveau mode d’élection de l’exécutif.
C’est le remplacement de conseillers communaux en cours de législature ces dernières années qui a provoqué ce débat. Ainsi, l’arrivée du PLR Fabio Bongiovanni pour remplacer Alain Ribaux à l’exécutif de la capitale cantonale en 2013, alors qu’il n’était même pas candidat sur la liste de son parti précédemment, avait choqué plus d’un citoyen.
Débat relancé par la fusion
Et le remplacement automatique d’Olivier Arni par la première des viennent-ensuite de la liste socialiste, Anne-Françoise Loup, en 2017, avait relancé le sujet. Dans cette perspective, les quatre partis représentés au Conseil général s’étaient entendus en 2018 pour modifier le...