Les quarante jours de délai sont arrivés à leur terme, mais point de référendum à l'horizon. L'augmentation de cinq points (soit de 59 à 64 points) du coefficient fiscal souhaitée par l'exécutif de La Tène et adoptée par le Conseil général ne passera donc pas par les urnes (nos éditions du 22 février, 29 avril, 24 juin et 12 août). Si l'un ou l'autre citoyen a tenté de récolter des signatures, il n'est en tout cas pas parvenu à ses fins.
L'un d'eux, par contre, a déposé, le 23 août dernier, un second recours auprès de la chancellerie d'Etat. Ce même citoyen, soutenu par quelques autres, avait, dans un premier temps, combattu la clause d'urgence dont était doté l'arrêté signifiant la hausse du coefficient. Une clause empêchant le lancement d'un référendum.
Deux oppositions
Après s'être penchée sur cette opposition, la chancellerie avait avalisé ce recours, estimant que l'urgence ne s'appliquait...