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Neuchâtel: La fête, c’était mieux, il y a 20 ans, vraiment?

Faire la noce en ville, ce n’est plus ce que c’était, paraît-il. Avis croisés sur la question d’Yvan Hochuli, ancien adjoint du patron du Shakespeare Pub, et Thomas Menant, patron du Downtown K.

24 janv. 2018, 15:08
Une soirée au New York dans les années 1990 et une autre au Neuch’Dancefloor en 2017.

«Il n’y a plus rien à Neuchâtel, c’est mort!» Qui n’a jamais entendu cette rengaine sur la vie nocturne de la ville?

Selon l’ex-boss de la police, les nuits neuchâteloises ont atteint un pic de fréquentation en 1995 (lire ci-dessous). Aujourd’hui, les noctambules ont plutôt tendance à s’expatrier à Lausanne ou ailleurs en Suisse romande. Pour tenter de comprendre cette évolution, nous nous sommes approchés de deux fins connaisseurs de la nuit neuchâteloise.

"Ça bougeait à Neuchâtel à l'époque, c'était presque un petit Las Vegas", se souvient Yvan Hochuli (à droite). Adjoit du patron du Shakespeare Pub, Leo Summa, dès 1985, il est ensuite devenu l’aide du boss, puis gérant du William’s Pub à la rue des Terreaux. Après 32 ans «dans le circuit», le grand bonhomme a quitté le monde la nuit pour rejoindre la restauration.

Pour Thomas Menant, associé à Raphaël Galland pour la gestion du Bar King...

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