Aller faire la fête ou travailler de nuit dans un climat respectueux et sécurisé? C’est, en résumé, ce que propose le label romand We Can Dance It, dont la Case à chocs, à Neuchâtel, est devenue membre. Le but est d’éviter les discriminations et toute forme de harcèlement. Le label, fondé en 2016, a séduit la Case, premier établissement du canton à l’avoir rejoint. Diane Rodrigues, chargée des relations publiques de la salle de concerts, est enthousiaste: «C’est une super initiative. Nous avons tout de suite sauté sur l’occasion lorsqu’Albane Schlechten, l’une des initiatrices du projet (réd: voir l’encadré), nous a proposé d’en faire partie.»
Formations et charte
Un plan d’action sera mis en place pour la nouvelle saison de la Case, qui débutera en août. «Nous sommes deux, avec la responsable de l’accueil du public, à avoir participé à deux journées de formation avec une boîte de consulting spécialisée...