Selon les responsables de l’établissement, le service de sécurité qui a œuvré samedi 15 février à la Case à chocs, à Neuchâtel, n’a pas mal géré la situation lors du mouvement de foule qui s’est soldé par une dizaine de blessés légers. Son effectif – neuf agents – était adapté à cette soirée ouverte également aux 16-18 ans.
D’après leur analyse, c’est un concours de circonstances exceptionnel qui a débouché sur la dangereuse bousculade à l’entrée de la salle. Des mesures urgentes ont néanmoins été adoptées pour éviter qu’un tel événement ne se reproduise.
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«La soirée n’était pas considérée à risque», indique Luana Di Trapani. La responsable de l’Association de coordination de la Case à chocs (ACDC) rappelle que des contacts réguliers sont maintenus avec la police. Des éléments comme le style musical ou les événements qui se...