Le Tribunal régional du Littoral et du Val-de-Travers s’est penché, mardi à Neuchâtel, sur le cas d’un rentier AI prévenu d’injure, menaces et infraction à la loi sur les armes. Lors d’une perquisition faisant suite à une plainte pour menace de mort – «ta gueule, ou je te flingue», aurait proféré le prévenu à l’encontre de sa voisine, lors d’une soirée très arrosée en juillet dernier –, les policiers ont trouvé chez le sexagénaire un pistolet soft air Smith & Wesson et un couteau à ouverture automatique à une main. Penaude, la plaignante, qui connaissait l’existence de ces armes, a d’emblée signifié à la présidente du tribunal qu’elle retirait sa plainte. «J’avais tellement eu peur ce soir-là que je m’étais réfugiée chez une voisine. Et c’est elle qui avait appelé la police. Moi, je n’ai plus eu de problèmes avec ce monsieur», s’est excusée la jeune femme avant...
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Menaces et armes au domicile
Légaux ou pas, les couteaux ne cessent de défrayer la chronique.
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