Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les tests d’ADN, une simple question d’appréciation

16 janv. 2016, 00:49
DOMAINE DE L' HOPITAL DE PREFARGIER: CYGNES



MARIN 24.05.2013

PHOTO: CHRISTIAN GALLEY MARIN

L’avocat du jeune homme, finalement relaxé dans l’affaire du cygne décapité, regrettait que la police n’ait pas effectué de prélèvement d’ADN sur le cadavre du palmipède (notre édition d’hier). A-t-il bien fait de s’en plaindre? La police procède-t-elle automatiquement à des analyses d’éventuelles traces d’acide désoxyribonucléique?

C’est l’inspecteur en charge de l’enquête qui apprécie l’opportunité de mener ce genre de recherches, indique le porte-parole de la police neuchâteloise. En tout état de cause, lorsque le cygne a été retrouvé, un petit matin du mois de mai 2014 près de la passerelle de l’Utopie, à Neuchâtel, le service scientifique de la police s’est déplacé jusqu’au lieu de la macabre découverte. Et Pierre-Louis Rochaix de préciser: «L’enquêteur fait une appréciation des chances de succès d’une telle démarche. Or, dans le cas précis, il n’est pas sûr qu’une analyse de l’ADN aurait donné quelque chose.»

La voix de la police neuchâteloise rappelle qu’en...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias