Jeudi soir, un conseiller général a contesté la validité de la décision de l’exécutif de donner 5000 francs aux anti- comme aux pro-fusion.
Le 25 novembre prochain, les citoyens de Peseux voteront pour la seconde fois pour dire s’ils souhaitent fusionner avec Neuchâtel, Corcelles-Cormondrèche et Valangin.
Le Conseil communal de Peseux a décidé d’accorder un soutien financier de 5000 francs à chacun des camps, soit une dépense de 10000 francs. La même somme, répartie de même, avait été distribuée en 2016 lors de la première votation.
Légalité contestable
Pour le chef du Service des communes, Pierre Leu, la démarche de l’exécutif subiéreux est problématique: «Pour pouvoir prendre une telle décision, l’exécutif devrait s’appuyer sur un règlement qui régle, de manière générale, l’engagement de moyens publics lors de référendums. Ce n’est pas le cas ici, donc la légalité de la décision est sujette à caution.»
Conseiller général d’Ensemble à gauche et...