Après l’échec de la fusion avec Peseux, Valangin et Neuchâtel, le conseil communal de Corcelles-Cormondrèche avait en effet décidé l’an dernier de renoncer à collaborer avec sa voisine immédiate dans la gestion du GSRC, à partir du 1er janvier 2018, et de se tourner vers la capitale cantonale. Un choix qui lui permettait d’économiser chaque année 60 000 francs.
Mais avec moins de 6000 habitants, Peseux ne pouvait plus avoir un Guichet social régional pour sa seule population, le canton exigeant un bassin minimal de 8000 habitants. Les autorités subiéreuses avaient alors tenté d’approcher d’autres communes ou groupement de communes pour maintenir ce service.
Le président de la commune de Peseux, Pascal bartl, nous a confirmé hier que les autorités subiéreuses avaient obtenu un délai d’une année pour la maintien du GSRC. «D’ici la fin 2018, nous allons trouver une solution avec la Ville de Neuchâtel pour qu’elle reprenne dès le 1er janvier 2019 le Guichet social régional de Peseux.»
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