Curieux et amoureux des fripes et des productions artisanales ont pu s’en mettre plein la vue lundi à la Case à chocs. Comme chaque année, le Grand Marché de l’embrouille a tenu sa promesse avec une cinquantaine d’exposants motivés à bosser un jour férié en ville de Neuchâtel.
Gian Carlo, organisateur, détaille: «Le marché est divisé en plusieurs sections. Dans la première, nous avons reçu environ 26 créateurs. Dans la deuxième se trouvaient douze fripeuses et, du côté de la bourse aux vinyles, cinq vendeurs. Finalement, dans la cour, il y avait cinq brocanteurs.»
Public motivé
Un nombre d’exposants qui a augmenté avec les années (le marché de la Case à chocs existe depuis 2011), mais qui ne va pas exploser: «Nous ne recherchons pas la quantité, mais la qualité. Le but est de sortir du marché aux puces normal. Même si nous aimons ce côté friperie où les gens se battent pour une paire de chaussettes.»
Côté public, difficile d’estimer le nombre de participants, puisque l’entrée est gratuite: «Il y a du monde dans le bâtiment tout au long de la journée. Les gens sont plus nombreux depuis quelques années, mais ce n’est pas exponentiel. Ça nous va bien!»
Nouveauté lors de cette édition: une vente aux enchères: «Ça met une ambiance de fous! Nous voulons réitérer l’expérience». D’ailleurs, les exposants motivés peuvent déjà envoyer leur candidature pour participer au Grand Marché de l’embrouille 2019. VHU