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Affluence pour le premier jour de Chocolatissimo à Neuchâtel

Présentations diverses et didactiques, dégustations, œuvres chocolatées à admirer, la cinquième édition de Chocolatissimo est lancée jusqu’au dimanche 11 novembre au péristyle de l’Hôtel de ville essentiellement, mais avec quelques prestations au Jardin botanique et au théâtre du Pommier.

03 nov. 2018, 18:06
Les démonstrations sont aussi didactiques et cela pour tous les âges. l

Les visiteurs empilaient les premières pierres en vue de la réplique chocolatée d’un temple aztèque qui sera terminée dans une semaine. Un peu plus loin, la jeune Pauline et sa copine conseillaient un confiseur quant aux décorations en massepain qu’il devait réaliser pour décorer, à terme, ledit temple.

«Bon, après les singes, il faudra faire des araignées», assurait Pauline. «Ma maman m’a dit qu’il y en avait dans ce pays.» Et de continuer après que le confiseur s’est exécuté. «Et des serpents aussi. Mais ça, c’est facile.» 

Pour ce premier jour de Chocolatissimo, le péristyle de l’hôtel de ville a d’emblée été pris d’assaut. Photo Lucas Vuitel

Pris d’assaut

Samedi, Chocolatissimo (cinquième du nom)  a démarré en trombe. Le principe de l’événement consiste notamment à imposer une recette aux neuf confiseurs du canton qui les présentent sous toutes sortes de formes ludiques.

Cette manifestation, qui se tiendra en ville de Neuchâtel jusqu’au dimanche 11 novembre au péristyle de l’hôtel de ville principalement, mais également au théâtre du Pommier et au Jardin botanique, connaît un succès croissant. «Dès l’ouverture, les lieux ont été pris d’assaut», remarquait le chargé de la dégustation «vin chocolat». Qui disait se réjouir d’avoir vu tant de familles venues apprécier cet art que reste la confiserie.

Deux concours

Art dont les réalisations des apprentis de deuxième et troisième années sont la preuve. Ces confections font, du reste, l’objet de deux concours. «L’un d’entre eux, jugé par un jury de professionnels, l’autre par le public», explique Carlos Rodriguez, formateur et collaborateur de la confiserie Pellaton, à Peseux. Qui relève que certaines créations nécessitent jusqu’à un mois de travail.

Le public est appelé à juger les œuvres réalisées par les apprentis. Photo Lucas Vuitel

Des œuvres éphémères

«Sous cloche, elles peuvent se conserver et être exposées jusqu’à six mois. Mais parfois, il suffit d’un rayon de soleil pour les faire fondre en cinq minutes.» La confiserie, un art assurément, mais pouvant pourtant s‘avérer tellement éphémère.

En savoir plus : Le programme de la semaine

Certaines créations prennent jusqu’à un mois de travail. Photo Lucas Vuitel

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