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Le CAP, au Landeron, est en sursis. Des jeunes construisent sa pérennité

Depuis octobre 2017, les portes du Centre d'animation et de promotion de la santé (CAP) du Landeron sont closes. En cause, la dénonciation de la convention par les communes qui le financent. Question de montrer leur intérêt pour une telle structures, de nombreux jeunes s'investissent espérant assurer sa pérennité.

28 avr. 2018, 18:22
Des jeunes s'activent pour que le CAP puisse réouvrir ses portes.

Nous construisons la pérennité du CAP.» Président de l’association qui gère le Centre d’animation et de promotion de la santé (CAP) du Landeron (réd. inauguré en 2003), Thierry Linder n’y va pas par quatre chemins. Et fort de la dynamique en cours, il n’hésite pas à parler de «réel engouement».
L’engouement d’un grand nombre de jeunes de l’Entre-deux-Lacs qui se mobilisent pour sauver le lieu où ils se rencontrent. L’endroit où ils apprécient s’adonner à des activités diverses. Depuis octobre dernier, «leur» CAP est fermé.

En cause, la dénonciation, avec effet au 31 décembre 2017, de la convention liant l’association aux quatre communes qui financent cette structure. Soit, Le Landeron, Lignières, Cornaux et Cressier. La charge (quelque 200 000 francs au total) leur paraissait trop lourde en regard du taux de fréquentation en baisse (notre édition du 6 décembre 2016).

Toutes ont néanmoins accepté d’inscrire le fonctionnement du CAP dans...

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