"C'est la première fois qu'on fait un lundi sous la pluie" , relevait hier matin Sandrine Troyon, à la veille de l'ouverture du Buskers Festival, à Neuchâtel. Celle qui s'occupe notamment des bars de la manifestation ajoute: "La pluie, c'est notre pire ennemi."
La zone piétonne n'offre en effet guère d'abris pour les musiciens et leurs instruments. L'un des rares qui existait, à la faveur d'arcades, a disparu en même temps que Globus. En cas de fortes précipitations, des concerts pourraient être rapatriés à la Maison du Concert, où se déroulent les Nuits du Buskers, à partir de 23h.
Avant l'heure, le programmateur du Buskers Festival, Georges Grillon, voulait se fier aux prévisions météorologiques plutôt clémentes. "La seule année où il a vraiment plu, c'était en 1999, pour les dix ans du festival. Pour les 20 ans, il a fait beau non-stop."
Que nous réservera cette 25e édition, étendue sur...