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La prose d'Edith Boissonnas revit

Renaissance tardive d'une poétesse suisse romande à Neuchâtel.

30 sept. 2014, 00:01
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"Une joie de vivre, animale, me secoue" . Edith Boissonnas est de ces femmes qui ne connaissent pas de limites dans leur soif d'apprendre, de partager, d'avancer dans l'inconnu à coup d'expériences. Née en 1904 à Baden, c'est Genève qui la voit grandir. Sa vie, elle la passe le crayon à la main, à griffonner des pages entières de ses préoccupations diverses. Tantôt des lettres ou des articles, tantôt des recueils de poésie ou des essais. Enfant, c'est vers sa maman qu'elle se tournait lorsqu'elle avait besoin qu'on lui dicte un mot dont elle ne connaissait pas encore l'orthographe exacte. Aujourd'hui, son oeuvre est mise en lumière grâce à une exposition présentée à la Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel (BPU).

Une vie bien remplie

Après la Seconde Guerre mondiale, elle côtoie les grands noms de l'art brut: Braque, Giacometti, Mirò... Parfois, ces rencontres l'inspirent et elle consacre un article...

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