Cela avait été titré ainsi lorsque les autorités locales l’avaient décidé: Hauterive s’était éjecté du Grand Huit en renonçant au projet de fusion à huit communes dans l’Entre-deux-Lacs. Ecarté de fait des réflexions sur les structures à mettre en place à l’intérieur des nouvelles frontières communales, le Conseil communal altaripien n’a cessé depuis lors de rappeler qu’une alternative à la fusion portée par le comité de pilotage (copil) était tout autant envisageable.
Le Conseil communal l’a dit avant le refus d’une fusion à sept par le Landeron en votation. Il double la mise aujourd’hui en répétant que le projet de fusion à deux fois quatre communes offre lui aussi des avantages.
Pourquoi revenir à la charge alors que les dés semblent jetés? «Nous, on a toujours su ce qu’on voulait, mais les autres n’en veulent pas. Mais nous avons été invités à quitter notre rôle de spectateur par le mouvement...