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Une ancienne élue revient siéger, et Saint-Blaise implose

Une conseillère générale qui avait démissionné revient siéger pour deux séances, à la demande de son parti. Illégal selon certains. Ce cas met en lumière des habitudes contestables.

27 juin 2018, 17:35
C'est d'abord une méconnaissance de la loi qui a mené les autorités à se chamailler.

«Vu les histoires que ça engendre, je me dis je n’aurais jamais dû accepter de revenir au Conseil général.»

Des histoires, c’est vrai qu’il s’en passe depuis plusieurs semaines à Saint-Blaise. Accusations à tout va. Allons-y aussi pour les insultes. Motif? La réélection d’une ancienne conseillère générale.

Catherine Simonetta a obtenu un siège aux législatives de 2016. L’écologiste a été élue sur la liste commune de l’Entente. Trois semaines plus tard, elle quittait ses fonctions pour des raisons personnelles.

En avril dernier, l’Entente a essuyé des démissions. Faute de viennent ensuite motivés à siéger, elle a proposé à Catherine Simonetta d’assurer un intérim pour deux séances. Le temps de trouver un remplaçant.

Retour intéressé ou bouc émissaire?

Politiquement, cette histoire pourrait rester anecdotique. Mais pour certains, Catherine Simonetta, ouvertement opposée à la construction du nouveau quartier de Chauderons, «a été repêchée uniquement pour faire pression.» D’autres, au contraire, voient...

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