Si le doute a profité au prévenu quant aux accusations les plus graves, "il a fait vivre un calvaire à son épouse en la battant, en l'insultant et en la rabaissant pendant une année au moins", a souligné la juge Florence Dominé Becker. A l'époque, pour financer sa consommation de stupéfiants notamment, ce Tunisien d'origine a également commis plusieurs cambriolages, "à la limite du vol par métier".
Lire le compte-rendu de l'audience mercredi dans nos éditions payantes.