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Georges Probst bien rincé

24 mars 2011, 11:51

La pluie, la boue, les accidents, les éboulements n'arrêtent pas Georges Probst. Le Neuchâtelois poursuit son périple en Amérique du Sud et s'approche de la frontière bolivienne. Mais il a dû se battre sur son vélo pour en arriver là et il a connu aussi quelques frayeurs.

Depuis le départ de Patagonie le 7 janvier, le cycliste de Cortaillod avait suivi la fameuse N40 pour rejoindre la Bolivie. Son itinéraire a été modifié suite aux pluies diluviennes qui ont inondé le nord de l'Argentine.

Après la boue, l'ami Georges a eu droit à la douche, comme il le raconte sur son site (www.amsud-che-40.ch). La police l'a obligé à détourner sa route aux abords du col Abra del Acey. Il dut franchir la Cuesta del Obispo (3348 m) dans un délai précis (10h et 14h) avec une descente vertigineuse et dangereuse en prime.

Arrivé à Salta, il a laissé son vélo pour se rendre en bus aux chutes d'Iugaçu. L'excursion valait le détour. Avant de reprendre la route vers la Bolivie, il profite des rencontres et des beautés du paysage.

«Je vis une extraordinaire aventure», raconte-t-il. «Les moments pénibles sont vite effacés par les moments intenses.» Ils en restent encore beaucoup à vivre d'ici Quito, avec le passage sur les routes du Che en Bolivie. /jce

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