La balle est désormais dans le camp des habitants de Rochefort et Brot-Dessous. Ils diront le 29 novembre s'ils souhaitent unir leur destin.
Le dernier obstacle politique a été franchi jeudi soir, avec le soutien unanime du Conseil général de Rochefort à la convention de fusion. Pour Brot-Dessous, placée depuis le début de l'année sous la tutelle de l'Etat par manque d'élus, l'aval avait été donné par l'administrateur-délégué, Adrien Laurent.
"Reste à convaincre"
La fusion n'a guère fait de pli devant le législatif rochefortois, qui avait certes eu une séance pour échanger avec le comité de pilotage (Copil) deux semaines auparavant. Seul le conseiller général Thierry Gougler, au nom des libéraux-radicaux, a évoqué "un mariage de raison" , car la fusion avec Brot-Dessous "n'est pas forcément pour tout le monde un mariage d'amour" .
"C'est un projet équilibré qui, nous n'en doutons pas, récoltera le soutien de la population de...