Les résidents de l’EMS vaccinés et soulagés
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22.01.2021 20:02Brocante Plongée dans le temps et flots d’émotions sous le ciel ensoleillé de la Brocante du Landeron.
Les doux airs du siècle dernier sifflotés par les haut-parleurs ont signé l’atmosphère de la 46e Brocante du Landeron. Ouverte vendredi matin déjà pour les professionnels, la grand-messe des chineurs et autres dénicheurs de merveilles a attiré quelque 60’000 visiteurs jusqu’à dimanche soir, estime l’organisation. Favorable, la météo invitait à la baguenaude.
Cent quarante-cinq marchands ont investi cette année le vaste périmètre de la manifestation. Les folles années qui ont vu, coude à coude, jusqu’à 300 exposants sont passées. «Ce chiffre est stable depuis trois ou quatre ans», constate Eddy Burgener. La place gagnée a servi aux actuels exposants, poursuit le responsable de la brocante landeronnaise: «En fait, on ne compte pas beaucoup moins de mètres linéaires. Les exposants qui se contentaient de quelques mètres carrés ont aussi pris davantage de place.»
Comme d’habitude, les étals regorgeaient d’anodins bibelots ou d’imposantes antiquités. Tout était découvertes, souvenirs et voyages dans le temps. C’est que tout se vend et tout à un prix. A l’instar de vieilles boîtes d’allumettes (vides), à trois francs l’unité. Ou d’une baignoire transformée en sofa. Elle a suscité des «mais, quelle bonne idée», de passantes enthousiasmées par la forme des pieds de ce que fut cette pièce de bains.
«Ce truc bleu, là-bas au fond, c’est quoi?», lance à son mari une autre chineuse, l’index tendu. Dans ce tourbillon d’émotions, face aux milliers d’objets exposés, désigner un objet du doigt, ce que le bon usage réprouve, est devenu nécessité.
Aux sources de l’expert
«Les petits objets de brocante réveillent beaucoup de souvenirs. Une telle diversité s’offre au regard…» Expert en art mandaté depuis des années par la Brocante du Landeron, Raphaël Chevrier suit attentivement l’évolution des tendances. Hormis le retour du vintage et ses formicas colorés, les meubles n’ont plus vraiment la cote, sauf lorsque les prix sont raisonnables.
«Les objets déco, de publicité, ce qui se met en vitrine», font de belles ventes à présent. «Les gens ont besoin de retrouver ce qu’ils ont perdu des années de leur enfance. C’est un retour aux sources, une recherche de stabilité du temps ancien. Cela rassure, dans cette société où tout est futile, voire immatériel», observe et analyse Raphaël Chevrier.
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