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«Etablir, comprendre et proposer»

Après les dépassements en millions dans la réalisation des stades de foot, les élus remettent de l’ordre dans la maison. La lenteur à réagir du Conseil communal mise en évidence.

16 mars 2016, 01:36
Construction du terrain de football a Pierre-a-Bot



Neuchatel, le 28 juin 2006

Photo: David Marchon URBANISME

Un million par ci, un autre million par là... Lundi soir, la commission financière (CF) du Conseil général de Neuchâtel a dressé un sombre tableau des dépassements de budget engendrés par la construction des stades de football de la Maladière et de Pierre-à-Bot, à Neuchâtel. Des excédents passés au nez et à la barbe des élus locaux.

Ces deux lièvres avaient été levés bien trop tard pour demander des comptes aux responsables de ces abus. L’actuel Conseil communal (pas directement concerné) a établi les faits en 2015, tandis que la construction de la Maladière (partenariat privé-public) était acceptée en 2003 et celui de Pierre-à-Bot en 2004 (crédit de 5,38 millions de francs approuvé par le Conseil général). En 2006, le législatif votait des crédits supplémentaires de 1,818 million à titre d’investissements complémentaires pour la Maladière et 1,1 million pour Pierre-à-Bot. Malgré ces rallonges, il est apparu que ces deux réalisations...

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