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Enseignant neuchâtelois licencié: les mesures prises par le passé auraient dû être plus fortes

La commission d’enquête qui s’est penchée sur les décisions prises en 2005, puis en 2010, au sujet de l’enseignant qui a été licencié le printemps dernier, a rendu son rapport. Il amène le Conseil communal à regretter que des mesures plus fortes n’aient pas été prises.

06 févr. 2019, 17:00
Schueler im Gang des Blaesi-Schulhauses in Basel am Montag, 18. August 2014. Wie in fast allen Kantonen der Schweiz dauert die Primarschule neu sechs Jahre. (KEYSTONE/Georgios Kefalas)

D’un côté, une commission d’enquête qui estime qu’«on ne peut pas reprocher à la direction des écoles et à la commission scolaire des manquements à leurs missions. Les mesures administratives prises dans le contexte de l’époque apparaissent comme fermes et adéquates à l’égard de l’enseignant.»

De l’autre, un Conseil communal de Neuchâtel qui prend quelques distances avec les conclusions de la commission, lui qui déclare dans un communiqué diffusé en cette fin de mercredi après-midi: «Nous regrettons que les signaux répétés concernant les agissements de cet enseignant n’aient pas conduit à un nouvel avertissement ou une suspension, voire à l’ouverture d’une enquête pénale.»

Plus loin, l’autorité exécutive de la ville de Neuchâtel ajoute: «Nous tenons aujourd’hui à exprimer toute notre empathie vis-à-vis des enfants qui ont souffert de ces agissements, ainsi qu’à leurs familles.»

Procédure pénale en cours

Ces deux prises de position tombent au moment où l’on sait désormais...

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