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Elles disent non à l’épilation: quatre Neuchâteloises témoignent

Elles ont abandonné cire, crème et rasoir. Et c’est une libération, même si le regard des autres n’est pas toujours facile à supporter. Elles nous racontent.

27 août 2021, 05:30
De plus en plus de femmes font le choix de ne plus s'épiler.

Des jambes fines parfaitement lisses, dorées, brillantes au soleil. Des aisselles immaculées et douces au toucher. Voilà le modèle féminin qui tapisse les panneaux publicitaires et s’affiche sur nos écrans.

A lire aussi: «Garder ses poils, c’est aussi un acte militant»

Mais qu’en est-il des peaux naturelles? Vous savez, celles parsemées de poils plus ou moins longs, plus ou moins foncés?

De plus en plus de femmes font le choix de ne plus s’épiler, partiellement ou totalement. Selon une étude française menée entre 2020 et 2021, 19% ne s’étaient pas épilé les aisselles au cours des trois mois précédant l’enquête, soit 10 points de plus par rapport à 2013. Au niveau du pubis, le nombre de femmes ayant arrêté de s’épiler totalement a presque doublé en huit ans.

Vu sur le compte Instagram de la chanteuse Angèle:

Les récents mouvements féministes tels que #MeToo ont probablement contribué à...

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