Affreux malentendu verbal dans un cabinet vétérinaire du Landeron. Le propriétaire d'un golden retriewer voulait atténuer les douleurs de son chien, atteint d'arthrose à l'arrière-train. Il prend rendez-vous en précisant qu'il souhaite "soulager" son chien.
Le docteur en médecine vétérinaire interprète mal la demande et comprend que le propriétaire de Chopin, 14 ans, veut mettre fin aux souffrances de son compagnon à quatre pattes. Et, il euthanasie l'animal devant son maître.
Inconsolable, le propriétaire de Chopin affirme que son chien ne demandait qu'à vivre. Quand bien même il était malade, l'animal profitait de ses trois sorties quotidiennes et avait bon appétit. Catastrophé, le vétérinaire, à la semi-retraite, parle d'un malentendu qu'il regrette profondément.
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