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Dunia Miralles plonge dans la marge, si proche pourtant

Avec "Inertie", l'auteure de "Swiss Trash", grand succès de librairie, thématise la misère sociale.

30 sept. 2014, 00:01
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De Neuchâtel, mais installée à La Chaux-de-Fonds, Dunia Miralles vient de publier "Inertie" aux éditions L'Age d'homme. Auteure du livre culte "Swiss Trash", vendu à 7000 exemplaires, l'écrivaine parle d'une Chaux-de-Fonds des marges d'où tout espoir retombe aussitôt qu'il émerge. Interview.

Après la drogue dans "Swiss Trash" en 2000 et le sexe dans "Fille facile" en 2012, vous explorez dans "Inertie" l'univers des exclus du système. Et ça se passe encore et toujours à La Chaux-de-Fonds. La Métropole horlogère est-elle le décor idéal pour planter des histoires glauques?

Rires. C'est aussi la ville où il y a le plus d'artistes au mètre carré en Suisse romande, grâce aux métiers d'arts liés à l'horlogerie! C'est vrai que je renforce cette vision de La Chaux-de-Fonds dans mes romans, mais ces histoires pourraient aussi se passer à Meyrin ou ailleurs. Cet immeuble, on le trouve dans toutes les villes. Au départ, des ouvriers...

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